Voici deux informations trouvées sur Internet qui nous donnent à penser que nous n'avons pas tiré le gros lot en choisissant la compagnie COMANAV et son navire le "Marrakech express".

Panique et arnaque à bord du Marrakech express

J'ai passé le plus mauvais voyage de ma vie, la plus pire traversée que j'ai effectuée depuis 25 ans: celle de Tanger à Sète à bord de ce bateau portant honteusement le drapeau marocain qui est le Marrakech express.

Honte à cette compagnie qui ose porter le nom d'une compagnie MAROCAINE.

Que de l'arnaque: faire payer aux gens un service confort inexistant, des cabines doublement vendues, un état d'insalubrité avancée, des cabines seconde classe vendues au prix de la première classe , un service qui porte préjudice à ce pays qui doit exporter vers l'Europe une image moderne, un pays respectueux des hommes.

On peut toujours aller se plaindre au commissaire de bord mais il n'y peut rien, c'est comme ça et pas autrement, vous y êtes et à peine s'ils vous disent allez vous plaindre ailleurs.

Un ferry de la compagnie marocaine Comanav avec 435 passagers à bord et reliant Sète (France) à Tanger (Maroc) a été dérouté dans la nuit de lundi à mardi à Valence (est de l'Espagne) en raison d'une avarie d'un moteur.

Les 435 passagers d'un ferry de la compagnie marocaine Comanav, parti de Sète (sud-est de la France) dimanche soir et dérouté dans la nuit de lundi à mardi à Valence (est de l'Espagne) après une avarie, restaient bloqués à bord mardi, a-t-on appris auprès de la Comanav. Les passagers du "Marrakech Express", qui aurait dû arriver mardi matin à Tanger (nord du Maroc), restaient cantonnés à bord mardi après 13h00 (11H00 GMT), selon plusieurs témoignages.

Les passagers ont fait état d'une grande tension à bord du navire, dont ils ont critiqué "l'état déplorable", et qui est tombé en panné à la suite de l'incendie d'un moteur.

D'après une passagère, Sabrina Orsini, jointe par l'AFP, "la présence de quatre à cinq clandestins" sur le ferry, qui ont été enfermés selon elle dans une cabine, "a pu compliquer la situation avec les douanes espagnoles".

"Nous les avons tous vus, ce sont des Maghrébins", a-t-elle souligné. Un représentant de la compagnie, Omar Zaidi, avait affirmé à l'AFP peu avant midi que les passagers parmi lesquels figurent des Français, des Belges et des Marocains, allaient pouvoir quitter le bateau "dès maintenant".

Toutefois, les passagers "n'ont aucun reçu information de la part de la compagnie, comme cela a d'ailleurs été le cas depuis le départ de Sète", a raconté Sabrina Orsini, une commerçante française se rendant avec son camion au Maroc pour acheter de la marchandise. "Pendant la traversée, le capitaine a été introuvable", a-t-elle insisté.

Selon elle, un des deux moteurs du bateau a pris feu dans la nuit de dimanche à lundi, "provoquant un arrêt de quatre heures". A partir de ce moment-la, le bateau a considérablement ralenti sa vitesse, a poursuivi Hasida Hassami, qui en compagnie de son mari allait rendre visite à famille à Nador (Maroc).

Sabrina Orsini comme Hasima Hassimi, dont les témoignages sont recoupés par ceux d'autres passagers, ont affirmé que le navire se trouvait dans un état "déplorable, avec des fuites d'eau et une forte odeur d'essence".

"C'est scandaleux, c'est une épave", a renchéri Mme Orsini. D'après Omar Zaidi, Comanav va proposer aux passagers de leur rembourser le prix de leurs billets ou de prendre en charge leur voyage par route jusqu'à Tanger via Algésiras (sud de l'Espagne). Des mécaniciens ont commencé à réparer la panne, a-t-il ajouté sans être en mesure d'en préciser la nature.


Comme vous pouvez le constater, l'aventure s'annonce dores et déjà pleine de surprises... j'espère qu'il y en aura aussi de bonnes !

Et pourtant, il a l'air pas trop rouillé sur la photo...